Récemment, une enquête de CNBC a révélé la concurrence féroce pour le poste de président de la Réserve fédérale. Les deux candidats les plus soutenus sont le secrétaire au Trésor américain, Scott Pessenet, et l'ancien membre du Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, Kevin Walsh, tous deux ayant obtenu un taux de soutien de 24 %. Juste derrière, le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett, avec un taux de soutien de 22 %. Leurs taux de soutien rapprochés montrent l'intensité de cette lutte pour la succession.
L'enquête reflète également une montée de l'optimisme du public concernant les perspectives économiques américaines. Par rapport à mai de cette année, le pourcentage de répondants s'attendant à une récession économique a fortement diminué, passant de 53 % à 31 %, ce qui indique que la confiance économique est en train de se rétablir. Les prévisions économiques à long terme montrent que le PIB devrait croître de 2,2 % en 2026, et que le taux de chômage pourrait augmenter légèrement, passant de 4,1 % actuellement à 4,4 %, tandis que l'état général de l'économie reste stable.
En matière de politique monétaire, le marché s'attend généralement à deux baisses de taux cette année, avec un taux d'intérêt qui pourrait descendre à 3,9 % d'ici la fin de l'année. Cette mesure aura sans aucun doute un impact positif sur les prêts hypothécaires, les prêts automobiles et autres crédits à la consommation, allégeant ainsi le fardeau financier des ménages.
Il est à noter que, bien que le mandat de Powell ne se termine qu'en mai 2026, 84 % des personnes interrogées estiment qu'il ne sera pas révoqué prématurément. Ces données reflètent la confiance du public dans le président actuel de la Réserve fédérale (FED) et l'acceptation de la politique monétaire en cours.
Dans l'ensemble, cette enquête dresse un tableau économique positif : une continuité potentielle des politiques, une dynamique de reprise économique, un cycle de baisse des taux d'intérêt possible, et la confiance envers l'actuelle direction. Ces facteurs augurent ensemble que l'économie américaine pourrait entrer dans une phase relativement stable et en croissance, ce qui aura sans aucun doute des conséquences profondes sur l'économie mondiale.
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HypotheticalLiquidator
· 07-29 16:38
Dans un bull run, il n'y a pas de place pour un grain de sable. Face au risque, il n'y a pas de place pour la moindre chance. Se concentrer sur la diffusion des alertes aux cygnes noirs.
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HashRatePhilosopher
· 07-29 16:37
Oh là là, la baisse des taux d'intérêt arrive bientôt.
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BearMarketSage
· 07-29 16:35
La baisse des taux d'intérêt n'est qu'un cache-sexe.
Récemment, une enquête de CNBC a révélé la concurrence féroce pour le poste de président de la Réserve fédérale. Les deux candidats les plus soutenus sont le secrétaire au Trésor américain, Scott Pessenet, et l'ancien membre du Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, Kevin Walsh, tous deux ayant obtenu un taux de soutien de 24 %. Juste derrière, le directeur du Conseil économique national, Kevin Hassett, avec un taux de soutien de 22 %. Leurs taux de soutien rapprochés montrent l'intensité de cette lutte pour la succession.
L'enquête reflète également une montée de l'optimisme du public concernant les perspectives économiques américaines. Par rapport à mai de cette année, le pourcentage de répondants s'attendant à une récession économique a fortement diminué, passant de 53 % à 31 %, ce qui indique que la confiance économique est en train de se rétablir. Les prévisions économiques à long terme montrent que le PIB devrait croître de 2,2 % en 2026, et que le taux de chômage pourrait augmenter légèrement, passant de 4,1 % actuellement à 4,4 %, tandis que l'état général de l'économie reste stable.
En matière de politique monétaire, le marché s'attend généralement à deux baisses de taux cette année, avec un taux d'intérêt qui pourrait descendre à 3,9 % d'ici la fin de l'année. Cette mesure aura sans aucun doute un impact positif sur les prêts hypothécaires, les prêts automobiles et autres crédits à la consommation, allégeant ainsi le fardeau financier des ménages.
Il est à noter que, bien que le mandat de Powell ne se termine qu'en mai 2026, 84 % des personnes interrogées estiment qu'il ne sera pas révoqué prématurément. Ces données reflètent la confiance du public dans le président actuel de la Réserve fédérale (FED) et l'acceptation de la politique monétaire en cours.
Dans l'ensemble, cette enquête dresse un tableau économique positif : une continuité potentielle des politiques, une dynamique de reprise économique, un cycle de baisse des taux d'intérêt possible, et la confiance envers l'actuelle direction. Ces facteurs augurent ensemble que l'économie américaine pourrait entrer dans une phase relativement stable et en croissance, ce qui aura sans aucun doute des conséquences profondes sur l'économie mondiale.