#美联储货币政策# En repensant le passé, la politique monétaire de La Réserve fédérale (FED) a toujours influencé les nerfs des marchés financiers mondiaux. Depuis la période de forte inflation des années 70 jusqu'à l'assouplissement quantitatif après la crise financière de 2008, chaque étape nous a laissé une empreinte profonde. Aujourd'hui, nous nous trouvons à un carrefour crucial.
Les dernières nouvelles montrent qu'il y a des divergences au sein de la Réserve fédérale (FED) concernant l'orientation future de la politique. Certains conseillers soutiennent une baisse progressive des taux d'intérêt, estimant que le ralentissement de la croissance économique et la diminution des pressions inflationnistes offrent des conditions favorables. D'autre part, certaines voix plaident pour un ajustement des taux d'intérêt vers un niveau plus proche de la neutralité. Cette divergence reflète la complexité de la situation économique actuelle.
Il convient de noter en particulier les changements sur le marché de l'emploi. Le ralentissement de la croissance de l'emploi au cours des trois derniers mois pourrait devenir un point de déclenchement pour un changement de politique. L'histoire nous apprend que le marché du travail est souvent un indicateur avancé des tournants du cycle économique. En repensant aux subtils changements sur le marché de l'emploi avant l'éclatement de la bulle Internet en 2000 et la crise des subprimes en 2007, des avertissements avaient été donnés.
Actuellement, ce à quoi nous devons faire attention, c'est que la stabilité apparente du taux de chômage peut masquer une faiblesse sous-jacente. Comme l'a souligné le président Powell, lorsque la diminution des chercheurs d'emploi coïncide avec la baisse des postes vacants, cet équilibre est essentiellement fragile. Cela me rappelle le début des années 1990, lorsque des données sur l'emploi apparemment stables masquaient également des problèmes structurels de l'économie.
En regardant vers l'avenir, le défi auquel La Réserve fédérale (FED) est confrontée est de trouver un point d'équilibre entre le ralentissement économique et la pression inflationniste. Cela me rappelle le cycle de hausse des taux d'intérêt de 1994, lorsque La Réserve fédérale (FED) dirigée par Greenspan a réussi à réaliser un atterrissage en douceur. Mais nous ne pouvons pas non plus oublier la bulle d'actifs causée par une politique monétaire trop accommodante au début des années 2000.
L'histoire nous apprend que l'impact de la politique monétaire est souvent décalé et profond. Que ce soit une réduction progressive des taux d'intérêt ou le maintien de taux élevés, cela nécessite une évaluation prudente. Pour les participants du marché, il est plus important de se concentrer sur les changements des fondamentaux économiques que de deviner l'orientation des politiques. Après tout, comme nous l'avons vu dans les cycles passés, les véritables opportunités se présentent souvent lorsque le sentiment du marché et la réalité économique sont en décalage.
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#美联储货币政策# En repensant le passé, la politique monétaire de La Réserve fédérale (FED) a toujours influencé les nerfs des marchés financiers mondiaux. Depuis la période de forte inflation des années 70 jusqu'à l'assouplissement quantitatif après la crise financière de 2008, chaque étape nous a laissé une empreinte profonde. Aujourd'hui, nous nous trouvons à un carrefour crucial.
Les dernières nouvelles montrent qu'il y a des divergences au sein de la Réserve fédérale (FED) concernant l'orientation future de la politique. Certains conseillers soutiennent une baisse progressive des taux d'intérêt, estimant que le ralentissement de la croissance économique et la diminution des pressions inflationnistes offrent des conditions favorables. D'autre part, certaines voix plaident pour un ajustement des taux d'intérêt vers un niveau plus proche de la neutralité. Cette divergence reflète la complexité de la situation économique actuelle.
Il convient de noter en particulier les changements sur le marché de l'emploi. Le ralentissement de la croissance de l'emploi au cours des trois derniers mois pourrait devenir un point de déclenchement pour un changement de politique. L'histoire nous apprend que le marché du travail est souvent un indicateur avancé des tournants du cycle économique. En repensant aux subtils changements sur le marché de l'emploi avant l'éclatement de la bulle Internet en 2000 et la crise des subprimes en 2007, des avertissements avaient été donnés.
Actuellement, ce à quoi nous devons faire attention, c'est que la stabilité apparente du taux de chômage peut masquer une faiblesse sous-jacente. Comme l'a souligné le président Powell, lorsque la diminution des chercheurs d'emploi coïncide avec la baisse des postes vacants, cet équilibre est essentiellement fragile. Cela me rappelle le début des années 1990, lorsque des données sur l'emploi apparemment stables masquaient également des problèmes structurels de l'économie.
En regardant vers l'avenir, le défi auquel La Réserve fédérale (FED) est confrontée est de trouver un point d'équilibre entre le ralentissement économique et la pression inflationniste. Cela me rappelle le cycle de hausse des taux d'intérêt de 1994, lorsque La Réserve fédérale (FED) dirigée par Greenspan a réussi à réaliser un atterrissage en douceur. Mais nous ne pouvons pas non plus oublier la bulle d'actifs causée par une politique monétaire trop accommodante au début des années 2000.
L'histoire nous apprend que l'impact de la politique monétaire est souvent décalé et profond. Que ce soit une réduction progressive des taux d'intérêt ou le maintien de taux élevés, cela nécessite une évaluation prudente. Pour les participants du marché, il est plus important de se concentrer sur les changements des fondamentaux économiques que de deviner l'orientation des politiques. Après tout, comme nous l'avons vu dans les cycles passés, les véritables opportunités se présentent souvent lorsque le sentiment du marché et la réalité économique sont en décalage.